Passer et repasser au même endroit à toute heure de la journée. Le rythme des ombres dessine sur le sol, courbes et lignes entremêlées par le temps qui passe. Les barrières se jouent des gens qui vont. Elles séparent la rue de l'intime. Simplicime imprime l'ombre d'un passage, figeant par les heures solaires, une foule protectrice d'un cocon plus humain.
mardi 20 mai 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
Bravo, simplissime et poétique... Un projet a développer !
Merci Coline. Si quelqu'un pouvait t'entendre...
Enregistrer un commentaire